Il est des récits de course moins faciles à écrire que d'autres. Les raisons sont diverses et variées mais toutes justifiées : l'émotion, la déception, la peur de ne pas réussir à retranscrire ce que nous avons vraiment vécu, la mémoire qui fait défaut ou au contraitre qui nous innonde de souvenirs trop nombreux pour réussir à reconstruire l'histoire.
Alors il a fallu prendre le temps. Prendre le temps de digérer (le résultat), de prendre du recul sur ses émotions, de revenir à sa place... c'est à dire celle d'un amateur qui a fait une course d'endurance dure comme des millions d'autres sportifs tous les ans et dont les état d'âmes deviennent vite ridicules une fois ces émotions retombées.
Retour en mots et en images sur les derniers jours avant l'épreuve et bien sûr sur ce 15 août 2014.